Qui est Alexandre ?
Alexandre est artiste peintre. Arrivé à la PADAF il y a 1 an et demi, au départ installé dans un espace de 34m² au grand étage, il a ensuite eu besoin de s’agrandir pour préparer une exposition à Bruxelles. Ces deux espaces lui ont permis de mettre en place une dynamique d’atelier depuis l’année dernière, c’est-à-dire de travailler avec des assistant.e.s pour l’élaboration de ses projets. Ces toiles d’envergure (410 x 287 cm au maximum) prennent beaucoup de temps à être faites, il y a donc une réelle nécessité de déléguer certaines tâches mécaniques. Ainsi il peut développer plusieurs projets en même temps et densifier ses expérimentations picturales. Ce travail d’atelier permet également de transmettre des techniques, proposer une expérience de peinture, et un apprentissage des enjeux techniques et picturaux du monde artistique actuel.
Avant de venir à la PADAF il a travaillé à Casablanca pendant 2 ans ; lieu où il a découvert le travail en dynamique d’atelier ainsi que ses limites.

Quelle est sa journée type à la PADAF ? 
Il vient assez tôt en général vers 8h, il commence à travailler, et le reste de l’équipe arrive à partir de 9h30 / 10h, parfois ielles déjeunent toutes et tous ensemble. Ensuite ielles rentrent vers 18h. Alexandre enchaîne souvent avec des rendez-vous à l’atelier ou à Paris, et sa journée se poursuite jusque 20h.

Quels sont ses 3 mots pour décrire la PADAF ?
Évolution, construction, adaptation

Quel est son rêve pour ce lieu ?
C’est un lieu qui fonctionne bien, il n’en demande rien de plus, il lui souhaite que ça continue, et que d’autres personnes puissent développer leur activité à leur tour. C’est déjà un rêve.